mardi 19 mars 2019

Rapport d'activité 2018

Rapport d'activité 2018


Table des matières


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Introduction

Les changements dans le pays

Trois cours de formation entièrement gérés et animés par les superviseurs congolais

L'activité au Congo en 2018

L'association

Données comptables

Évolution diachronique

Annexes

Rappel: la définition du projet

Information sur le comité de l'association

Information sur les donatrices et donateurs

Le CPT, son histoire, ses principes, son étendue

Buts statutaires de l'association

Principes RPC appliqués par l'association

Apports bénévoles

Contributions des participants 

Évaluation

Formation permanente

Formation des superviseurs, formateurs et animateurs de cours

Supervision

Retentissement

L'association suisse « Projet CPT au Congo » recueille des fonds et soutient des projets congolais de formation spécialisée d'aumôniers et de superviseurs-formateurs. De nombreuses informations sur l'activité au Congo sont disponibles sur ce blogue, ainsi que sur celui des superviseurs-formateurs congolais formés dans ce cadre (http://formationpastoraleclinique.blogspot.com)

Ce rapport donne des informations sur les activités réalisées par les acteurs du projet en RDC, ainsi que sur les activités de l'Association suisse.

Le deuxième et dernier mandat du Président Kabila était arrivé à échéance le 19 décembre 2016. Pendant deux ans, le pays a vécu sous grande tension qui a occupé l'esprit de tous. Sous la pression de la société civile, et de diverses instances, des élections présidentielles ont pu enfin avoir lieu le 30 décembre 2018.

Contrairement à la ”vérité des urnes” donnant un des opposants (Martin Fayulu) largement vainqueur (62%) aux élections présidentielles, c’est Félix Tshisekedi, le fils du célèbre opposant qui a été désigné comme Président de la République. L’alternance a eu lieu, mais seulement en apparence; en effet, suite à un accord entre l’ancien et le nouveau président, le pouvoir effectif semble être resté entre les mains de Kabila et de son clan. Le calme est revenu pour le moment, mais les points d’interrogation restent nombreux.

Les violences dans le Nord et Sud-Kivu ne diminuent pas; d’autres s'y sont ajoutées, (les terribles massacres au Kasaï). Elles sont favorisées par la faiblesse de la gouvernance, alliée à sa force répressive !. On dit que la population du Kivu est sous stress post-traumatique permanent. On en voit apparaître des signes à tout moment ; ce qui n’empêche pas la réalisation de projets magnifiques. La (formation à) l’accompagnement spirituel est de plus en plus d’actualité.

Trois stages de six semaines ont eu lieu. Organisés et animés exclusivement par des Africains. L'un à Mbuji-Mayi, une grande ville au passé tumultueux située au centre-sud du pays. Un autre à Goma, dans une région où a sévi une guerre atroce et longue, qui n'a pas vraiment pris fin. Un troisième stage s'est nichée dans la capitale, Kinshasa.

Le stage de Goma: former des guides spirituels appelés à rencontrer les survivants des atrocités de la guerre !

Heal Africa est une structure de soin autonome. Elle est implantée à Goma, chef-lieu de la province du Nord-Kivu, une région très marquée par une guerre récente et par le retour de l'épidémie d'ebola. Le stage a été pris en charge entièrement par Heal Africa, à l'exception des formateurs et superviseurs. Ces derniers appartiennent au projet CPT au Congo. Le stage a pris place dans le cadre d'une grande session à côté de divers exposés. Quatorze participantes et participants y ont pris part.

Au centre de Kinshasa: un stage classique

À l'image des nombreux stages déjà réalisés ces dernières années dans le cadre du projet CPT au Congo, ce stage a réuni douze participantes et participants, soit quatre femmes et huit hommes, tous universitaires et théologiens. La cérémonie de clôture a été présidée par le Dr André Bokundoa Président National de l’Eglise du Christ au Congo en présence du professeur émérite André Masiala Masolo, membre du comité de Référence CPT.
Un troisième stage à Mbuji-Mayi
Les trois formateurs, le logisticien et les treize stagiaires

Mbuji-Mayi est une très grande ville. Depuis les années 1980, elle a multiplié sa population par trois, du fait de l'afflux de population en provenance du Katanga et du fait de l'engouement pour les exploitations de diamants, devenus le premier produit d'exportation du pays.

Les formateurs et treize stagiaires sont parvenus à conduire un stage de bout en bout avec une réussite marquée malgré des conditions très africaines, ce qui veut dire des difficultés majeures inattendues. Dans le cas de ce stage, par exemple, une épidémie de choléra avec comme conséquence des difficultés d'approvisionnement en eau propre et une discipline d'isolement attentive.

L'association

L'Association s'est réunie le 19 juin 2018 à Moutier en présence d'Alfred Mbuta.

  • La supervision entre collègues congolais devra être encouragée.
  • Un appui financier a été sollicité avec succès dans certaines paroisses.
  • Une évaluation du management externe du Projet a été initiée et réalisée à l'intention d'Interaction en vue de la prolongation du soutien important fourni par cette institution et de l'adaptation du Projet aux exigences actuelles.
  • L'avenir de l'Association suisse est un souci constant. Aucune solution durable n'est pour l'instant possible.
  • Un montant global de $ 33'000.00 sera mis en 2018 à la disposition du Bureau permanent par le biais de conventions,. essentiellement pour l'organisation de cours de formation CPT.

Modification des statuts

Le 7 novembre 2018 les membres de l’association ont été consultés par courriel sur unemodification des statuts. Désormais, le siège de l'Association est à St.Blaise (NE). Cette proposition a été acceptée par retour de courriel à l’unanimité.

Comptabilité

La comptabilité sera désormais établie par une comptable professionnelle, Mme Corinne Martin.

A la demande d'institutions subventionnantes, les comptes 2017 ont été vérifiés par la Fiduciaire Deuber Beuret SA, reconnue officiellement. Les comptes sont reconnus conformes aux normes Swiss GAAP RPC 21.-

Le comité pour sa part s'est réuni le 12 décembre à St.Blaise.

  • La Banque cantonale bernoise a modifié le mode de sécurisation des comptes par e-banking, ce qui pose quelques difficultés techniques à l'Association.
  • Les besoins du Bureau permanent pour 2019 feront l'objet d'une évaluation et d'une couverture par la conclusion de conventions, le déficit de 2018 pourra éventuellement être également couvert.
  • L'évaluation externe pose des exigences qui ne sont pas du ressort de l'Association mais plutôt du Bureau permanent. Certaines sont au delà des possibilités en personnel et en moyens financiers.
  • Une nouvelle adhésion au Code d’honneur peut être présentée en temps voulu, à condition que l’exonération soit validée. Une adhésion complète à Interaction surviendra ensuite.
  • L'avenir de l’association est un souci constant.

Données comptables

Recettes
Contributions de particuliers11'670.00
Contributions des institutions29'295.00
Contributions d'Eglises1'000.00
_________
Total des recettes52'865.00
  
Charges
Subsides pour l'activité au Congo39'180.00
Contributions à Interaction1'400.00
Frais de voyage46.00
Frais d'envoi, d'impression,
campagne financière
774.70
Comptabilité, vérification1'177.00
Frais de banque121'95
_________
Total des charges42'699.65
  
Bénéfice de l'exercice10'0165.35

Tableaux statistiques

Ce tableau permet de suivre l'évolution diachronique du projet:

St.Blaise, le 31 janvier 2018

Association Projet CPT au Congo
Le président : Le secrétaire : L'administrateur :
Jean-Claude Schwab Klaus Völlmin Marc Jeannerat


Rappel: Définition du projet

Il s’agit de former des aumôniers d’hôpitaux et d’autres institutions dans la capitale du Congo RDC et d’autres grands centres. Ce projet présente une double face institutionnelle. La face suisse est constituée par la présente association. La face congolaise par l’Église du Christ au Congo, plus précisément la Direction nationale des aumôneries. Les responsabilités et les tâches de chaque face sont clairement délimitées. Selon l’article 3 de ses statuts, l’association suisse récolte des fonds et les transmet. La Direction nationale des aumôneries, maintenant secondée par le Conseil des superviseurs et leur Bureau permanent, organise la formation, recueille les inscriptions des stagiaires, engage les formateurs – suisses et congolais – et assure l’intendance.

L’interface entre les deux faces du projet est confiée à trois personnes, des formateurs d’adultes spécialisés dans la formation d’aumôniers selon la méthode du Clinical Pastoral Training – CPT : Le président et le secrétaire de l’association, Klaus Völlmin et Jean-Claude Schwab d’une part et d’autre part Alfred Mbuta, directeur national des aumôneries de l’ECC. Ces trois personnalités se connaissent bien et sont en relation quasi constante depuis plusieurs années. C’est à elles, par exemple, que les fonds sont confiés et elles les acheminent de manière sûre et peu onéreuse.

Information sur le comité de l'association

Ruedi Erb a remplacé Johannes Flückiger

Klaus Völlmin (bkvoellmin@bluewin.ch ) pasteur retraité de langue alémanique, est un superviseur CPT actif bilingue. Il a participé à la vie du CPT dès son introduction en Suisse alémanique. Il assume la présidence et la promotion de l'association pour la partie alémanique.

Jean-Claude Schwab (jct.schwab@bluewin.ch) pasteur à la retraite, superviseur CPT actif, est le secrétaire de l'association, dont le siège est à son domicile.

Marc Jeannerat (mjeannerat@bluewin.ch), ancien pasteur et directeur du CSP Berne-Jura, assure l'administration et les travaux informatiques.

Ruedi Erb est chargé du contact avec les institutions et donateurs germanophones.

La durée de fonction des membres de l'association et du comité n'est pas limitée dans le temps.




Information sur les donatrices et donateurs

Au nombre dépassant la centaine, les donatrices et donateurs de l'association se répartissent entre fondations et institutions, tant catholiques que protestantes, paroisses, alémaniques et romandes et personnes sensibles à la portée du projet. Leur recrutement nécessite un effort considérable d'information de la part des superviseurs porteurs du projet. Donatrices et donateurs sont régulièrement informés par le moyen d'un blog bilingue et de courriels.
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Le CPT, ses principes, son étendue.

Le Clinical pastoral training est une variété de formation continue des adultes: elle est composée de rencontres individuelles, en groupe et sous forme de sessions de formation pastorale clinique. Toute personne qui exerce un travail de relation, d'écoute et de parole a besoin à son tour de vis-à-vis qui l'écoutent, l'observent, interagissent avec elle et de diverses activités lui permettant de prendre conscience de son mode de communication. Le CPT intègre la dimension spirituelle propre à chacun-e. Il cherche à affiner l'identité professionnelle, à estimer les ressources et les capacités de la personne de façon réaliste, et à développer sa créativité.

Il faut chercher les racines de cette méthode aux États-Unis il y a moins d'un siècle. Après un lent développement dans le monde anglo-saxon, la méthode à gagné les Pays-Bas et le monde germanique, avant de pénétrer en francophonie.

La paternité d'une introduction du CPT en Afrique revient aux Églises congolaises. Elles ont mandaté le pasteur Alfred Mbuta pour répondre à ce besoin de formation spécifique. Celui-ci a contacté l'aumônerie du CHUV à Lausanne en 2008 pour une aide logistique. L’Association suisse romande de supervision pastorale a été saisie de la demande et a confié la mise en œuvre d'une réponse adéquate à Jean-Claude Schwab, un superviseur pastoral accrédité.

Les débuts furent pragmatiques, prise de contact avec un second superviseur, Klaus Völlmin, recherche de fonds et mise sur pied de cours pionniers. Le 26 juin 2012 est fondée une association qui a pour but de lever des fonds et de les remettre à la discrétion des superviseurs en vue d'un usage conforme aussi efficace que possible. En 2013 ont eu lieu deux événements de grande portée : la reconnaissance du premier superviseur congolais et le premier stage entièrement aux mains d'Africains !

Buts de l'association

L’Association a pour buts d'offrir un appui aux églises de RDC (Congo Kinshasa), dans leur projet de formation des aumôniers d'hôpitaux.

Principes RPC appliqués par l'association

  • La cohérence entre la réalité pratique et celle qui est rapportée est absolue.
  • Les comptes sont exhaustifs, ils représentent des recettes et des coûts globaux, les montants sont bruts.
  • Les comptes se basent sur et reproduisent uniquement le compte de banque de l'association auprès de la Banque cantonale du canton de Berne.
  • L'entier des comptes, bilan, résultats et journal, est présenté in extenso à l'Assemblée générale de l'association. Un contrôle complet est rapide, évident et des plus aisés.
  • Les mouvements sont inscrits à la date à laquelle ils ont été matériellement réalisés. Tous les actifs sont des liquidités mobilisables sans délai.
  • La comptabilité de l'association se limite à ses devoirs statutaires, la récolte de fonds et la mise à disposition de subsides.
  • La crédibilité des assertions est portée au plus haut point.

Apports bénévoles:

Une estimation des recettes cachées dues au bénévolat peut faire état des données chiffrées minimales suivantes :
  • L'investissement en temps du directeur du projet, le pasteur Alfred Mbuta.
  • Le travail des deux formateurs suisses.
  • en prestations de formation
  • en travail d’infrastructure relationnelle et administrative en RDC
  • en préparation pour la prestation de formation en Suisse et en coordination avec les partenaires en RDC en recherche de fonds en Suisse

Soit  2520h à 50$/h = $ 126'000

Contributions des participants :

Chaque participant-e contribue aux frais de stage à raison de $ 100.-$ 100,- x 34 stagiaires $ 3'400
Le coût de leur transport jusqu'au lieu de stage est assumé soit par eux-mêmes, soit parfois par les institutions qui les envoient.
On peut compter une moyenne de 600$/personne x 34 stagiaires
$ 20'400
La perte de gains annexes est compensée par la plupart des autres ONG offrant des séminaires de formation en RDC à raison de 200 à 500$/pers pour 5 semaines. Il s'agit de pertes de gain par l'abandon des occupations rémunératrices annexes pour suivre les stages. Le projet CPT ne verse pas ces compensations.
On peut compter une moyenne de 350$/personne x 30 stagiaires
$ 10'500
Les co-animateurs, superviseurs-formateurs en formation reçoivent un dédommagement de 200$ pour un stage. Ils auraient normalement 400$.
Cela représente 400-200= 200$ x 6 formateurs Ceci pour l'abandon des occupations rémunératrices annexes.
$ 1'200
Quant au salaire, la plupart n'en reçoivent pas ou seulement une partie pendant leur mandat. On peut évaluer leur "sacrifice" à 1'200$ x 8 formateurs $ 9'600
Ce qui donne un total de recettes cachées de l'ordre de $ 45'100

Evaluation

Un test de fin de cours est établi avec une évaluation pratique.

Ce test consiste en une auto-évaluation du stagiaire par lui-même et par son superviseur, selon des grilles établies et en fonction de ses propres objectifs initiaux. Il présuppose que le stagiaire a accompli tous les travaux demandés; et qu’une évaluation permanente a été opérée pendant tout le cursus de formation. En supervision, le stagiaire s’évalue par rapport aux objectifs qu’il s’est fixés au départ, en accord avec ses formateurs. Ce test n’est donc pas un test académique certifiant d’un niveau obtenu de capacité, mais une évaluation de l’évolution de ses capacités. L’évaluation du superviseur lui indique les domaines où il a encore à progresser.

Formation permanente

Les aumôniers formés sont suivis pendant les 2 ans consécutifs. Le directeur national des aumôneries est en contact avec chacun, propose des rencontres de formation continue, vérifie l’évolution et l’adéquation des engagements de chacun.

Les cours CPT se donnent dans un ou des hôpitaux ; c’est là que la pratique s’opère. Cela présuppose que la direction des hôpitaux concernés a été contactée par le projet, qu’elle a donné son accord. Mais souvent cet accord n’est que formel et fondé sur la simple crédibilité de la présidence de l’ECC et des formateurs, sans connaissance concrète du projet. Lors de la réalisation du CPT, ces directions découvrent concrètement l’enjeu de cette formation et de cette aumônerie, ainsi que le profit pour l’amélioration des soins hospitaliers qu’ils offrent. Ils seront plus disposés ensuite, non seulement à accepter mais aussi à désirer qu’un tel service soit établi dans leur institution.

Formation des superviseurs, formateurs et animateurs de cours

Les cours de formation méthodologique sont organisés périodiquement (tous les 2-3 ans).

La fréquence de ces cours dépend
  • du nombre de candidats potentiels (ayant suivi au moins 2 cours CPT), capables et disponibles,
  • de la capacité d’absorption de ces candidats, c-à-dire du nombre de cours CPT qui peut leur être offert comme lieu de formation,
  • du besoin effectif de la filière de formation (nombre minimal et maximal de superviseurs à disposition)
  • des moyens financiers à disposition.

Supervision

Les superviseurs en formation se font superviser par des superviseurs accrédités. Cela présuppose que des superviseurs accrédités ou reconnus soient disponibles dans les lieux où demeurent les superviseurs accrédités.


Actuellement le professeur Masiala, ainsi que le superviseur Alfred Mbuta, le doyen de la faculté de psycho-pédagogie de Kisangani assurent cette fonction, ainsi que les superviseurs accrédités.

Retentissement

L’impact sur les malades n’a pas pu être mesuré de façon systématique jusqu’à présent, ni auprès d’eux, ni auprès de leurs familles ou de leurs soignants. Les multiples témoignages des malades rapportés par les aumôniers (ou stagiaires-aumôniers) indiquent un taux élevé de satisfaction.

Plus précisément, les patients rencontrés et accompagnés expriment leur reconnaissance d’avoir été écoutés, pris au sérieux, reconnus dans leur être et mal-être, rencontrés dans leur désespoir et aidés à en sortir, conduits à découvrir leurs propres ressources et celles qui leur sont données. Certains témoignent aussi de leur rapide amélioration, d’autres de leur guérison, ou encore de l’affermissement de leur chemin de vie…

L’impact sur les stagiaires eux-mêmes est lui aussi impressionnant. C’est vital, car ce sont eux les vecteurs principaux du changement.

Ils viennent au cours CPT pour acquérir des outils et compétences au service de leur ministère d’accompagnement des personnes souffrantes. Et ils découvrent que c’est eux-mêmes, leur propre personne qui est l’outil principal. Ils sont donc bénéficiaires non seulement par l’acquisition de compétences, de savoir-faire et de savoir-être, mais aussi par la transformation profonde de leur être, de leur mentalité : ils apprennent comment puiser dans leur propres ressources et dans celles qui leur sont données. Une enquête auprès d’eux a été menée concernant l’impact sur leur vie et leur ministère, un an après leur premier cours CPT. Elle rend compte de l’impact important de cette formation sur leur vie et leur ministère ; en particulier sur la grande diversité des lieux d’application.




Les personnes qui souhaitent rencontrer les porteurs de ce projet sont invitées à prendre contact

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